10 juillet : Vénérable Marcel Van
 
Mon Père(sn directeur), le 22 juillet dernier (1946), en apprenant ce que dit à ce sujet Notre Père SAINT ALPHONSE, j'ai trouvé cela tout à fait juste et ses paroles ont encore augmenté ma joie. Je crois que l'enseignement que j'ai reçu de JÉSUS il y a quelques jours est très vrai et bien fondé. A ce que je pense, si un païen se trouvant à l'agonie veut recevoir le baptème, mais vient à mourir avant que sa volonté puisse être réalisée, il est sauvé quand même ; à plus forte raison les petits enfants innocents.
 
Mon Père, il y a encore beaucoup d'autres arguments que je comprends mais que je ne puis écrire. En ce qui concerne l'argument que j'ai signalé plus haut, je ne sais si vous le comprenez. Quant à moi, en le relisant, c'est comme si je ne pouvais le comprendre. Veuillez m'excuser. Certes, JÉSUS ne m'oblige pas à exposer ces arguments pour vous amener à croire ce qu'il m'a enseigné plus haut. Toutefois, si c'était nécessaire, je me contenterais d'énumérer les arguments suivants :
 
1. La Miséricorde de DIEU est infinie.
2. Les mérites de JÉSUS sont également infinis ; ils ne se limitent pas au salut d'un petit nombre d'âmes seulement.
3. La communion des saints.
4. Nous pouvons délivrer les âmes du purgatoire
Source : prophetesetmystiques.blogspot.fr
 

La Miséricorde de Dieu avec Marcel Van. Prières de Marcel Van.
 
Le site les "Amis de Marcel Van"
 
Un reportage Kto sur la vie de Marcel Van
 
Prophéties de Marcel Van
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 10 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE IV
 
Pratiques de dévotion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours
 
Pline rapporte qu'on a autrefois payé des tributs pour l'ombre : un empereur en a imposé non-seulement pour tout ce que la terre pouvait donner, mais encore pour l'air que l'on respirait. Froton, roi de Danemark, l'exigeait pour toutes les parties du corps, il est bien plus juste que nous le payons à notre Dieu en l'honneur de sa divine Mère.
 
Les Lacédémoniens demandèrent aux Samiens pour tribut un jour de jeûne, c'est-à-dire qu'ils leur payassent autant qu'ils auraient dépensé en ce jour, eux, leurs valets et leurs chevaux.
 
Les personnes riches peuvent en faire autant pour la gloire de la reine du ciel, donnant en aumônes ce qu'ils auraient pu employer dans les repas dont ils s'abstiennent.
 
Louis XI offrit en hommage à la souveraine du ciel le comté de Boulogne ; saint Henri, empereur, fit bâtir ou réparer près de mille églises en son honneur ; saint François jeûnait tous les jours depuis la fête de saint Pierre jusque l'Assomption ; sainte Élisabeth pratiquait le même jeûne, mais c'était au pain et à l'eau ; le savant cardinal Tolet, de la Compagnie de Jésus, jeûnait pendant ces quarante jours qui précèdent la fête du triomphe de la reine du paradis avec la même austérité, ne mangeant que du pain et ne buvant que de l'eau.
 
Il ne faut qu'aimer et faire ; car l'amour est tout plein d'industries, et il inspirera toujours assez de moyens aux véritables esclaves de payer le tribut à leur bonne maîtresse. C'est une excellente pratique, d'avoir une boite où l'on mette tous les jours ou toutes les semaines quelque argent de ce qu'on aura pu épargner, pour l'offrir ensuite comme un tribut.
 
Une tentation que l'on aura surmontée, une occasion dangereuse dont l'on aura été délivré, quelque fâcheux accident dont l'on aura été préservé, un acte de vertu que l'on aura pratiqué, quelques grâces particulières que l'on aura reçues, peuvent servir d'une juste occasion pour faire quelque petite épargne, pour mettre dans ce que l'on amasse pour le tribut de notre glorieuse maîtresse. Mais l'exercice intérieur de la pratique des vertus lui sera sans doute encore plus agréable.
 
Ainsi, le fidèle esclave, devant travailler continuellement dans son service, s'appliquera à lui rendre quelques devoirs plus particuliers, prenant à tâche de surmonter le vice auquel il est le plus sujet, et de dompter l'inclination qui le domine davantage, ou de pratiquer la vertu qui lui est nécessaire.
 
Et tous les actes qu'il fera de la mortification de son inclination, ou de la vertu dont il a plus de besoin, pourront composer un bouquet sacré et mystique qu'il offrira ou tous les mois, ou tous les ans, au jour de la rénovation, à la sainte dame, conférant les mois avec les mois, et les années où il est avec les années précédentes, pour remarquer s'il avance ou recule dans le service de la Mère de Dieu.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 10 juillet
 
10 juillet - Italie. Notre Dame de l'Etoile 1491.
 


























9 juillet : Sainte Véronique Giuliani
 
Vierge
 
Véronique naquit le 27 septembre 1660 à Mercatello sul Metauro dans la province des Marches (Italie).
Elle entra chez les Clarisses de Citta del Castello à l'âge de dix-sept ans.
Elle fut favorisée de nombreuses grâces mystiques particulièrement sur la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ qu'elle consigna entre autres révélations dans un journal édité sous le titre de "Trésor caché".
Elle reçut les stigmates et mourut le 9 juillet 1727 à Citta del Castello en Ombrie. Son nom provient du grec qui signifie "victorieuse"
 
Biographie de Ste Véronique Giuliani. Liturgie traditionnelle pour sa fête.
 
Véronique Giuliani, une sainte extraordinaire.
 
La vision du Purgatoire de Ste Véronique Giulani.
 
La vision de l'Enfer de Ste Véronique Giuliani.
 
Le chapelet médité et les litanies mariales de Ste Véronique Giuliani.
 
Catéchèse de Benoît XVI de Ste Véronique Giuliani du 15/12/2010.
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 9 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE IV
 
Pratiques de dévotion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours
 
Il faut prendre quelqu'une des susdites fêtes pour le jour de la rénovation du dessein que l'on a pris de vivre et mourir esclave de la très digne Mère de Dieu.
 
Pour ce sujet l'on fera avec une nouvelle ferveur d'esprit la protestation de lui céder tout le droit que l'on a en ses bonnes actions, et que l'on peut lui donner :
 
Comme aussi on renouvellera le dessein que l'on a eu de l'honorer en tous les moments de sa vie. L'on fera aussi un sérieux examen (ce qui serait bon de pratiquer tous les mois) de toutes ses actions, pour voir si, dans la vérité, elles sont toutes à la divine Marie :
 
Car si elles lui appartiennent (ce qui doit être à raison de la qualité d'esclave) le monde, ni la chair, ni les démons n'y doivent avoir aucune part.
 
C'est ici qu'il faut bien examiner si la profession que l'on fait du saint esclavage est sincère, si elle consiste plus en paroles qu'en effets : et si l'on n'en a pas encore bien pénétré l'obligation, il faut commencer de le faire une bonne fois en la présence de Dieu et des saints anges.
 
L'on considérera les fautes que l'on a commises, comme par exemple en s'appropriant quelques heures ou quelques jours de sa vie, quelqu'une de ses actions (ce qui est une injustice, puisque l'on en a fait cession entre les mains de l'auguste reine du ciel) ou bien en négligeant de travailler puissamment dans le service de sa bonne maîtresse à la pratique des vertus : car enfin la qualité d'esclave dit deux choses.
 
La première, que, mettant la personne en la possession du maitre ou seigneur, tout ce qu'elle a et tout ce qu'elle fait est à lui : la seconde, que toute l'occupation de sa vie est de travailler pour son maître.
 
Ces deux choses bien considérées, il y aura lieu de s'humilier fortement, et en suite de faire quelque pénitence pour demander pardon à notre sainte dame, prenant la discipline, ou jeûnant quelques jours, ou faisant quelque autre action semblable :
 
Car c'est le propre des esclaves d'être châtiés quand ils tombent en faute. L'on pourra aussi donner quelques aumônes, pour marque du tribut que l'on doit rendre à l'impératrice du ciel et de la terre, ou bien faire brûler quelques cierges devant ses images, ou contribuer en ce que l'on peut à la décoration de ses temples ou autels, selon le mouvement que l'esprit de Dieu en donnera.
 
  Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 9 juillet
 
9 juillet - Colombie. Notre-Dame de Chiquinquira - Argentine. Notre Dame d'Itati. - Bolivie. 1548 : Diaz Mendez fonde La Paz sous le nom de Ville de Notre-Dame de la Paix
 



































8 juillet : Saints Aquila et Prisca
 
Deuxième Lettre de Saint Paul à Timothée chapitre 1
 
09 Car Dieu nous a sauvés, il nous a appelés à une vocation sainte, non pas à cause de nos propres actes, mais à cause de son projet à lui et de sa grâce. Cette grâce nous avait été donnée dans le Christ Jésus avant tous les siècles,
10 et maintenant elle est devenue visible, car notre Sauveur, le Christ Jésus, s’est manifesté : il a détruit la mort, et il a fait resplendir la vie et l’immortalité par l’annonce de l’Évangile,
11 pour lequel j’ai reçu la charge de messager, d’apôtre et d’enseignant.
12 Et c’est pour cette raison que je souffre ainsi ; mais je n’en ai pas honte, car je sais en qui j’ai cru, et j’ai la conviction qu’il est assez puissant pour sauvegarder, jusqu’au jour de sa venue, le dépôt de la foi qu’il m’a confié.
13 Tiens-toi au modèle donné par les paroles solides que tu m’as entendu prononcer dans la foi et dans l’amour qui est dans le Christ Jésus.
14 Garde le dépôt de la foi dans toute sa beauté, avec l’aide de l’Esprit Saint qui habite en nous.
15 Tu sais bien que tous ceux de la province d’Asie se sont détournés de moi, et entre autres Phygèlos et Hermogène.
16 Que le Seigneur fasse Miséricorde à la famille d’Onésiphore qui m’a plusieurs fois rendu courage et qui n’a pas eu honte de mes chaînes de prisonnier.
17 Arrivé à Rome, il s’est empressé de me chercher, et il m’a trouvé.
18 Que le Seigneur lui donne de trouver Miséricorde auprès de Dieu au jour de sa venue ! Et tous les services qu’il a rendus à Éphèse, tu les connais mieux que personne. Lire
Source : Bible aelf
 
Deuxième Lettre de Saint Paul à Timothée
 
Biographie de Sainte Prisca
 
Biographie de Saint Aquila
 
Catéchèse de Benoit XVI sur Prisca et Aquila
 
Catacombes de Sainte Priscille à Rome. 
 
Acte des Apôtres 18
 
Epître aux Romains 16,3
 
Epître aux Corinthiens 16,19
 
2ème Lettre de St Paul à Timothée 4,19
 





































Neuvaine à Notre-Dame du Mont Carmel du 8 au 16 juillet
 
Prière
 
Vierge Immaculée, Marie,
Lumière et Gloire du Mont Carmel,
Jetez sur moi un regard de bonté,
Et gardez-moi sous Votre protection maternelle.
Fortifiez ma faiblesse par Votre puissance,
Et dissipez par Votre lumière les ténèbres de mon coeur.
 
Augmentez en moi la Foi,  L'Espérance et la Charité.
Ornez mon âme de toutes les vertus afin qu'elle devienne de plus en plus chère à Votre Divin Fils.
 
Assistez-moi pendant la vie,  consolez-moi par Votre présence
A l'heure de la mort, et présentez-moi à la Sainte Trinité,
Comme Votre enfant, afin que je puisse Vous louer,
Et Vous glorifier éternellement dans le Ciel.
Ainsi soit-il !
 
1 Pater, 1 Ave, 1Gloria
 
Une autre neuvaine à Notre Dame du Mont Carmel
 
Les Litanies de Notre-Dame du Mont Carmel
 
Source : leblogdumesnil
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 8 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE IV
 
Pratiques de dévotion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours
 
Il proposera d'augmenter le nombre des esclaves de la digne Mère de Dieu, autant qu'il le pourra faire, soit en donnant des livres qui traitent de la dévotion de l'esclavage, soit en y incitant par les motifs que l'on peut en suggérer dans les entretiens particuliers, et en public, si c'est une personne qui ait droit d'y parler, soit en procurant que l'association de l'esclavage soit établie, se servant de personnes qui ont quelque pourvoir auprès des prélats de l'Église, pour en obtenir la permission.
 
Que n'a point fait le dévot P. Barthélemy de los Rios pour cette fin ? Mais ses soins ont reçu une telle bénédiction du ciel, que l'on voit à présent cette confrérie établie en grand nombre de villes, en différentes provinces, et en plusieurs royaumes, et un nombre presque infini de personnes de toutes sortes de qualités et d'états qui font gloire de vivre dans l'esclavage de la reine du ciel, dont la servitude est préférable à toutes les couronnes.
 
Malheur à nous qui voyons ces choses, qui les louons et approuvons, pendant que nous demeurons oisifs à ne rien faire, nous contentant de quelques paroles ! Ô mon Dieu, quelle confusion de voir ce que le zèle d'un seul homme peut faire, et a fait, assisté du ciel, si nous considérons le peu que nous faisons !
 
En vérité, il faut dire que l'amour de nos coeurs pour celle que nous regardons comme notre très douce mère et très aimable maîtresse, n'est pas grand'chose, puisqu'il agit si peu ; l'amour étant du naturel du feu qui agit toujours, et qu'on ne peut cacher.
 
Il faut de plus que l'esclave de la Mère de Dieu sache qu'il doit porter hautement son service dans toutes les occasions, se déclarer hardiment pour son serviteur et dévot contre les libertins, et ne faire jamais rien d'indigne d'une si glorieuse qualité.
 
Il aura soin de célébrer avec une dévotion très particulière, et avec toute la solennité possible, les fêtes de l'Immaculée Conception, de l'Annonciation, et du précieux coeur de la glorieuse Vierge, comme les grandes fêtes de l'Association de l'esclavage de la Mère de Dieu.
 
Il aura aussi une vénération singulière pour le très doux nom de Marie, dont la fête se fait le 22 de septembre, et il ne prononcera jamais ce sacré nom qu'avec un très profond respect.
 
Il l'invoquera avec confiance en tous ses besoins, il aura recours en toutes ses tentations, et il la pourra honorer quelquefois récitant en son honneur cinq psaumes, ou cinq antiennes ou hymnes qui se commencent par les lettres qui le composent : par exemple, récitant le Magnificat ; - Ad Dominum cum tribularer ; - Retribue servo tuo ; - In convertendo Dominus captivitatem Sion ; - Ad te levavi oculos meos ; ou bien, Magnificat ; - Ave maris stella ;  - Regina cli laetare ; - Inviolata ; - Ave Regina clorum.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 8 juillet
 
8 juillet - Italie. Notre Dame de la ceinture. - Russie. Fête de Notre-Dame de Kazan
 


















La Miséricorde de Dieu aux hommes par Ste Cactherine de Sienne
 
Au plus haut des cieux, votre Miséricorde éclate dans vos saints. Si je regarde la terre, votre Miséricorde y abonde. Dans les ténèbres de l'enfer, votre Miséricorde luit encore, en n'infligeant pas aux damnés un supplice aussi grand que leurs fautes.
Votre Miséricorde fait plus douce votre justice! C'est par Miséricorde que vous nous avez lavés dans le sang, par Miséricorde que vous avez voulu converser avec vos créatures.
O Fou d'amour! Ce n'était donc pas assez de vous incarner, qu'encore vous avec voulu mourir! Ce n'était donc pas assez de mourir, qu'aussi vous êtes descendu aux enfers pour en délivrer les saints Patriarches et accomplir en eux votre vérité et votre Miséricorde!
Votre bonté en effet, avait promis le bonheur à ceux qui vous servent en vérité, et vous êtes descendu aux limbes, pour tirer de peine ceux qui vous avaient servi et leur rendre le fruit de leurs travaux.
Votre Miséricorde vous a poussé à faire plus encore pour l'homme. Vous vous êtes laissé en nourriture, afin de nous fortifier dans notre faiblesse, et pour que notre ignorance, avec un tel souvenir, ne pût  perdre la mémoire de vos bienfaits.
Voilà pourquoi chaque jour, vous vous donnez à l'homme, en vous représentant à lui, au sacrement de l'autel, dans le corps mystique de la sainte Eglise. Qui donc a fait cela? Votre Miséricorde!
O Miséricorde! Mon coeur devient tout feu à penser à vous! De quelque côté que mon esprit se tourne et se retourne, je ne trouve que Miséricorde!
O Père éternel, pardonnez à mon ignorance, si je suis assez présomptueuse pour parler devant vous! L'amour de votre Miséricorde me sera une excuse devant votre Bonté . Lire
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 7 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE IV
 
Pratiques de dévotion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours
 
Ainsi elle s'arrête à la méditation autant que sa grâce l'y attache ; elle passe à la contemplation lorsqu'elle y est appelée ; elle fait avec soin tous ses exercices de piété, sans en omettre pas un par ennui, par tentation, par dissipation, par infidélité.
 
Mais elle est bien paisible lorsqu'elle ne les peut pas faire, soit par maladie ou par quelques occupations où elle est obligée de se rendre dans l'ordre de Dieu ; car ce qu'elle regarde est de faire la volonté de Dieu, sans se mettre en peine des moyens qui servent à aller à Dieu, sinon en tant qu'ils sont conformes à son bon plaisir.
 
Ces choses supposées, je dis que celui qui prétend à la glorieuse qualité d'esclave de la Mère de Dieu doit choisir quelque jour pour se donner à la souveraine des anges et des hommes en cette qualité, et s'y disposer par une confession générale, si jamais il n'en a fait, prenant garde que la réitération des confessions générales souvent vient de la nature, qui veut se satisfaire en se soulageant de quelques peines, qui ne sont que des scrupules, ce qui n'est suivi d'aucune bénédiction.
 
Car ordinairement, dit le grand saint François Xavier, au lieu d'un scrupule que l'on prétend ôter, ces confessions en font regermer dix.
 
Le jour étant arrivé, après la sainte communion, il fera la protestation à sa bonne maîtresse, telle qu'elle est ci-après à la fin de ce livre, se donnant entièrement à elle en qualité d'esclave, et cela non-seulement des lèvres, mais du plus profond du coeur, entrant véritablement dans les dispositions que l'on doit avoir en la volonté, et conformément à ce que nous en avons dit particulièrement aux chapitres 2 et 6 de la 1ère partie.
 
C'est pourquoi il sera bon de les lire avec attention, pour savoir en quoi consiste la dévotion de l'esclavage de la très sainte Vierge, dont il est traité au chapitre 2, et être éclairci des difficultés que l'on y peut former, dont il est parlé amplement au chapitre 6.
 
Si les Romains autrefois achetaient leurs esclaves en présence de cinq témoins, il est bon de se donner à l'auguste impératrice du ciel en cette qualité, prenant pour témoins d'une action si sainte son bon ange, saint Gabriel, saint Joseph, saint Jean l'Évangéliste, et le saint ou la sainte dont on porte le nom.
 
Il est bon d'acheter une petite chaînette, de la faire bénir auparavant par un prêtre, avec l'oraison qui est pour ce sujet à la fin de ce livre.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 7 juillet
 
7 juillet - Italie. Notre Dame de Monteregale 1596. - 1952 : Pie XII consacre la Russie au Coeur Immaculé de Marie
 
 
























6 juillet : Saint Isaïe
 
Prophète
 
Livre d'Isaïe 55, 1 à 10
 
01 Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau ! Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer, venez acheter du vin et du lait sans argent, sans rien payer.
02 Pourquoi dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas, vous fatiguer pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi bien, et vous mangerez de bonnes choses, vous vous régalerez de viandes savoureuses !
03 Prêtez l’oreille ! Venez à moi ! Écoutez, et vous vivrez. Je m’engagerai envers vous par une alliance éternelle : ce sont les bienfaits garantis à David.
04 Lui, j’en ai fait un témoin pour les peuples, pour les peuples, un guide et un chef.
05 Toi, tu appelleras une nation inconnue de toi ; une nation qui ne te connaît pas accourra vers toi, à cause du Seigneur ton Dieu, à cause du Saint d’Israël, car il fait ta splendeur.
06 Cherchez le Seigneur tant qu’il se laisse trouver ; invoquez-le tant qu’il est proche.
07 Que le méchant abandonne son chemin, et l’homme perfide, ses pensées ! Qu’il revienne vers le Seigneur qui lui montrera sa Miséricorde, vers notre Dieu qui est riche en pardon.
08 Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur.
09 Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.
10 La pluie et la neige qui descendent des cieux n’y retournent pas sans avoir abreuvé la terre, sans l’avoir fécondée et l’avoir fait germer, donnant la semence au semeur et le pain à celui qui doit manger. Lire
 
Biographie de Saint Isaïe prpophète. Le pressoir de la Miséricorde.
 








































6 juillet : Sainte Maria-Goretti
 
Vierge et martyre
 

Maria naquit à Corinaldo (Italie) en 1890. Elle reçut une éducation chétienne.
A douze ans, maltraitée par un de ses jeunes voisins, elle défendit sa virginité quand il voulut abuser d'elle.
Il la larda de quatre coups de poinçons parce qu'elle lui avait dit dans son langage d'enfant vouloir garder son corps pour Jésus.
Elle mourut le 6 juillet 1902, près de Rome à l'hôpital de Nettuno, le lendemain.
Ses dernières paroles furent de pardonner à son meurtrier. L'assassin après quatre ans de prison se convertit, et grâcié en 1929, comme prisonnier modèle. Il finit ses jours comme jardinier d'un couvent de Capucins.
Maria fut béatifiée en 1945 et canonisée par Pie XII en 1950.
Elle est la protectrice des jeunes filles.
Son nom vient de l'égyptien, signifiant "aimée de Dieu", et de l'hébreu, "dame".
 
Une neuvaine à Sainte Maria Goretti.
 
Pardonner à son bourreau et désirer Jésus
 
Maria Goretti : La petite et douce martyre de la pureté et de la Miséricorde
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 6 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE IV
 
Pratiques de dévotion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours
 
Nous avons déjà dit que la seule bonne volonté était nécessaire pour être associé au nombre des esclaves de la sainte Mère de Dieu ; que cette dévotion était très facile, en ce qu'elle n'imposait aucune charge, et qu'elle ne demandait aucun autre exercice de piété des esclaves, que ceux que l'obligation de leur état prescrit, ou la prudente conduite d'un sage directeur.
 
Ainsi, cette dévotion n'ordonne aux ecclésiastiques, aux religieux ou religieuses et aux autres personnes dont la conduite est réglée, d'autres exercices que ceux qu'ils pratiquent :
 
Mais parce qu'il y en a plusieurs qui sans se gêner, ou sans se trop charger d'exercices, peuvent en pratiquer quelques-uns avec la bénédiction de l'Esprit de Dieu, qui sont spécialement propres aux esclaves de la sainte Vierge.
 
Nous en proposerons pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours, que l'on pourra pratiquer autant que l'Esprit de Dieu le demandera d'un chacun ; exhortant seulement de faire une sérieuse attention sur cette vérité, que la gloire de Dieu ne se rencontre pas précisément dans le grand nombre de prières, d'actes et de pratiques, mais dans la ferveur avec laquelle on fait ces choses
 
Et que Dieu et sa très digne Mère sont plus glorifiés d'un psaume, d'un cantique ou d'une antienne, récités avec dévotion, que de tout le psautier, ou d'un grand nombre d'autres prières que l'on ferait à la hâte et avec négligence ; ce qui est bien à remarquer par plusieurs personnes, qui, mettant leur dévotion dans la multitude des pratiques, s'en acquittent avec précipitation et avec peu de sentiment de la grandeur infinie de la majesté de Dieu, à qui ils les adressent.
 
C'est pourquoi les saints Pères recommandaient grandement l'usage des oraisons jaculatoires, parce qu'ordinairement elles se font avec plus de vue de Dieu.
 
Oh ! Combien il y en a qui seront châtiés dans les feux redoutables du purgatoire pour la négligence qu'ils ont eue dans leurs exercices, qui souvent ont été des péchés véniels et non pas des actions dignes d'aucune récompense !
 
Combien y en a-t-il qui, au jour du jugement, se trouveront coupables pour des dévotions qu'ils ont pratiquées par amour-propre, suivant en cela leur inclination naturelle et non pas le mouvement de la grâce ; leurs propres lumières plutôt qu'une conduite réglée ; se rendant propriétaires de leurs exercices, voulant les faire par leur propre volonté, y étant attachés, ne considérant pas qu'il n'y a que Dieu seul qui est la fin de tous les moyens à qui nous devions nous attacher, et non pas aux moyens qui conduisent à lui, que nous ne devons prendre qu'avec une parfaite indifférence, pour nous en servir seulement dans son ordre, n'écoutant nullement les mouvements propres de la nature, ne les quittant pas à la vérité par inconstance ou négligence, mais selon le bon plaisir divin, qui demande des choses en un temps qu'il veut qu'on quitte en d'autres, changeant nos états comme il lui plaît ; et en tout cela la fidélité de l'âme consiste à ne vouloir que ce que Dieu veut, demeurant dans un état et dans les exercices de l'état autant qu'il le veut, et changeant de disposition comme il l'ordonne.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 6 juillet
 
6 juillet -Lacrymations et messages à Soeur Agnès Sasagawa Katsuko à Akita (Japon)
de 1973 à 1981, reconnues par Mgr Ito en 1984
 



































5 juillet : Saint Antoine- Marie Zaccaria
 
Prêtre 
 
Antoine-Marie naquit à Crémone dans la région de Milan en 1512. Il fonda l'Ordre des Clercs réguliers dont les membres s'appellent les "Barnabites", parce qu'ils s'installèrent près de l'église de Saint Barnabé.
Saint Antoine-Marie leur donna Saint Paul comme modèle et protecteur.
Consolé par la vision céleste des Apôtres, il mourut très saintement à l'âge de trente-six ans, en l'année 1539.
Son nom vient du grec qui veut dire " premier né " pour Antoine , et "aimée de Dieu" pour Marie et de "dame" quand il provient de l'hébreu, Zaccaria vient de l'araméen "mémoire de Dieu".
 
Biographie de Saint Antoine Marie Zaccaria.
 
Saint Antoine marie Zaccaria, un météore du XVIe siècle.
 
Liturgie traditionnelle pour sa fête. Un sermon à ses fils spirituels sur Saint Paul
 
Le site en anglais des Barnabites
 
Les Lettres de Saint Antoine-Marie Zaccaria. Le site en anglais des Barnabites
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 5 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE III
 
Honorer arec toute sorte de respect la maternité divine, et l'amour incomparable du précieux coeur de la glorieuse Vierge
 
Mais il a plu à Dieu de susciter en nos jours en son Église une très sainte congrégation de missionnaires ; instituée par le révérend P. Jean Eudes, l'un des plus zélés et fervents serviteurs de notre auguste princesse, qui est toute dévouée et consacrée en l'honneur de cet aimable coeur.
 
Ces dignes missionnaires, très recommandables pour la pureté de leur doctrine, et leur zèle incroyable pour le salut des âmes, prêchant l'Évangile avec une vertu sans pareille dans les villes et campagnes, y établissant à même temps la dévotion solide du coeur virginal de Marie :
 
ils procurent que l'on y érige une association ou confrérie en son honneur par la permission de nos seigneurs les prélats, ayant dressé à cette fin de beaux statuts et d'excellents règlements : ils obtiennent le pouvoir d'en faire la fête tous les ans le 8 de février ; et comme leur amour est grand, ils inspirent quantité de moyens pour bénir et louer cet aimable coeur.
 
Ils ont fait bâtir un magnifique temple sous l'invocation de ce saint coeur en la ville de Coutances en Normandie, où l'on en célèbre la fête tous les ans, comme il a été dit, le 8° jour de février, avec une octave solennelle.
 
Ils en font mémoire dans l'office comme de patron, et leur zèle a reçu tant de bénédictions du ciel, que cette dévotion, malgré toutes les oppositions de l'enfer et de la terre, et même de quelques gens de bien, commence à se répandre en grand nombre de lieux de différentes provinces.
 
Les séminaires de Rouen, de Lisieux et de Bayeux en font une haute profession, aussi bien que celui de Dijon, ville qui, conservant encore l'esprit de dévotion envers la sainte Vierge, qu'elle a autrefois reçue de saint Bernard, se rend considérable par les honneurs extraordinaires qu'elle rend à son précieux coeur.
 
L'office de ce sacré coeur composé par le révérend P. Jean Eudes, que nous avons loué ci-dessus, remplit les langues, dit un grand archevêque, du miel et du lait de la sainte épouse ; et le coeur de la tendresse des plus saintes affections, et il l'appelle un recueil, et comme une empreinte de toutes les suavités que les saintes lettres et les saints Pères ont laissées à l'Église, tirées avec tant de pureté que les vérités de notre foi ni les pratiques des bonnes moeurs n'y courent aucun hasard, mais y peuvent être goûtées comme en leur source. 
 
L'on peut dire avec vérité que c'est un office des plus dévots que nous ayons, et qu'il semble que la sainte Vierge en ait inspiré la douceur ; il est bien difficile de le lire avec attention sans avoir le coeur saintement attendri.
 
Grand nombre de prélats ont reçu cette dévotion en leurs diocèses, en ont approuvé l'office, et permis aux prêtres de le faire et d'en célébrer la fête le jour que nous avons marqué. Il s'en fait une grande solennité en la célèbre abbaye de Montmartre, par la singulière piété, de la princesse qui en est la très digne abbesse.
 
La même dévotion se pratique chez les religieuses Bénédictines du Saint-Sacrement de Paris, qui étant toutes dédiées à l'amour de Jésus au très-saint Sacrement, ne respirent que la gloire de la Mère de cet adorable Dieu-Homme, qu'elles honorent comme leur abbesse, ayant mis leur maison, leurs personnes, tout ce qu'elles ont, tout ce qu'elles font, sous la direction et dépendance très particulière de la glorieuse Mère de Dieu, par les soins de leur vertueuse et zélée supérieure, l'une des plus fidèles esclaves de notre auguste maîtresse.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 5 juillet
 
5 juillet - Russie. Vierge de l'Econome.- Fête des 7 joies de Marie
 
 

























4 juillet : Bienheureux Pier Gorgio Frassati 
 
Laïc
 
Pier Gorgio naquit le 6 avril 1901 à Turin dans une famille aisée dont le père agnostique a fondé le journal "La Stampa". Pier Gorgio poursuivit ses études malgré des difficultés.
Rapidement il se mit au service de la foi et de la charité en secourant les plus pauvres dans les taudis de la ville sans que sa famille n'en soit au courant.
Il contracta la poliomyélite et mourut une semaine après le déclenchement de la maladie, le 4 juillet 1925, à 24 ans.
Pier Gorgio Frassati a été béatifié par Saint Jean Paul II le 20 mai 1990.
 
Biographie de Pier Gorgio Frassati
 
L'homme des huit béatitudes
 
Neuvaine à Pierre Georgio Frassat
 
"A nous il n'est pas permis de vivoter"
 


























4 juillet Saint André de Crète
 
« Nous avons péché, nous avons commis l'iniquité, nous avons fait l'injustice devant Toi ; nous n'avons point obéi, nous n'avons point fait comme Tu nous avais commandé ; mais Toi, ô Dieu de nos pères ! Ne nous abandonne pas jusqu'à la fin. J'ai péché, j'ai commis l'iniquité, j'ai violé Ton commandement : car je suis né dans le péché ; j’ai ajouté la blessure à mes meurtrissures ; mais Toi, Miséricordieux, Toi qui es le Dieu de nos pères, aie pitié.
A Toi, mon Juge, j'ai déclaré les secrets de mon cœur ; vois mon abaissement, vois mon affliction, sois propice dans mon jugement ; Toi qui es Miséricordieux, Toi qui es le Dieu de nos pères, aie pitié. J'ai défiguré ton Image, j'ai violé Ton précepte ; toute ma bonté a été obscurcie, ma lampe s'est éteinte par mes péchés : ô Sauveur ! Aie pitié, rends-moi la joie, comme chante David.
 
Convertis-toi, mon âme, fais pénitence ; révèle tes plaies cachées ; dis-les à Dieu qui sait tout. Toi seul, ô Sauveur ! Tu connais les secrets ; aie pitié de moi selon ta Miséricorde, comme chante David. Mes jours se sont enfuis comme le songe d'un homme qu'on réveille ; comme Ezéchias, je pleure sur ma couche, je Te demande d'ajouter des années à ma vie. Mais quel Isaïe, ô mon âme, peut venir à ton aide, si ce n'est le Dieu de l'univers ? » Ainsi soit-il. (St André de Crète)
Source : site-catholique.fr
 
Saint André de Crète à propos de la Sainte Vierge : Coupe qui recueille et déverse Miséricorde, salut, vie et joie.
 
Prières de Saint André de Crète. Biographie de Saint André de Crète
 
Quelques-uns de ses Ecrits sur la Sainte Vierge
 
Le Grand Canon de Sainte André de Crète dans la liturgie orthodoxe,
 
l'explication du Grand Canon de Saint André par un archiprêtre orthodoxe.
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 4 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE III
 
Honorer arec toute sorte de respect la maternité divine, et l'amour incomparable du précieux coeur de la glorieuse Vierge
 
Si l'on mettait d'un coté ce coeur virginal, et de l'autre tous les anges et tous les saints ensemble, ce seul coeur, le très uniquement unique coeur entre tous les bons coeurs des pures créatures l'emporterait.
 
Dieu fait plus d'état de lui seul, Dieu en est plus glorifié, et il est plus cher à Dieu. Ah ! Coeur donc la merveille de tous les coeurs !
 
Ah ! Coeur dont l'amour est le miracle de tous les amours ! Coeur le plus ravissant de tous les coeurs, puisque tu as ravi le coeur du Père éternel, son Fils bien-aimé ; coeur, le roi de tous les coeurs, puisque tu es le coeur de la Mère d'un Dieu.
 
Coeur béni entre tous les coeurs, puisque tu es une source inépuisable de bénédictions ; coeur le plus obligeant de tous les coeurs après l'incomparable coeur de Jésus, puisque les obligations que nous lui avons, sont presque infinies et en quantité et en qualité.
 
Qu'un chacun porte ses dévotions où il voudra : pour moi, j'entends qu'après mon Dieu, ô aimable, ô doux, ô ravissant objet, tous les désirs qui s'écloront dans mon coeur, tous les mouvements qui s'élèveront dans mon âme, tous les actes qui se formeront dans ma volonté, toutes mes actions soient consacrées à ta gloire pour la gloire de Jésus, qui doit lui seul être aimé et loué en tous les amours et en toutes les louanges.
 
Ô coeur inestimable ! Je t'aime plus que mes yeux, plus que mon coeur, plus que ma propre vie, plus que les anges, plus que les saints.
 
Mais c'est ici, mon coeur, où il faut s'élargir dans l'aveu que ce coeur mérite plus d'amour que tous les coeurs, puisqu'il y a plus de Dieu seul.
 
Repassons par notre esprit, considérons toutes les dévotions des âmes les plus ferventes de l'ancienne et de la nouvelle loi.
 
Quel zèle pour les saints anges, quelle ferveur pour tant de saints et de saintes dans les coeurs de leurs dévots ! Mettons en suite et joignons ensemble tout ce zèle, toutes ces ferveurs, ce n'est pas encore assez pour ce coeur admirable, qui mérite l'empire de tous les coeurs.
 
S'ils étaient tous en mon pouvoir, ils en deviendraient bientôt la conquête, ils en seraient bientôt les esclaves, puisque Dieu même s'y est bien voulu assujettir : et c'est ce qui l'a rendu un abîme de grâces, qui contient en soi un nombre presque infini de toutes sortes de bénédictions.
 
Il faudrait être sans coeur pour ne pas honorer d'une manière très spéciale ce coeur maternel de notre très bonne mère et très glorieuse dame, particulièrement après que Notre-Seigneur a bien voulu de sa propre bouche en enseigner la dévotion, en la personne de sainte Mathilde, de l'ordre de Saint-Benoit, qui, étant en peine quelle dévotion elle pratiquerait pour se rendre plus agréable à la très sainte Vierge, cet adorable Sauveur lui apprit à saluer son béni coeur.
 
Le bienheureux Herman, de l'ordre de Saint-Dominique, l'honorait tous les jours par quelque pratique pieuse : sainte Gertrude lui était singulièrement dévote.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 4 juillet
 
4 juillet - Notre-Dame Refuge des pêcheurs
 





























3 juillet : Saint Thomas Apôtre (Didyme)
 
(...) Nous comprenons alors que l’acte de foi que Thomas est invité à poser est celui de croire que la Miséricorde du Seigneur a triomphé de son péché qui a contribué à clouer Jésus sur la croix.
 
Le Ressuscité l’appelle à sortir d’une culpabilité mortifère pour accueillir la vie nouvelle de son Esprit : « La paix soit avec vous ». Comment ne pas réentendre ici ces paroles de Jésus à sainte Faustine : « L’humanité n’aura de paix que lorsqu’elle s’adressera avec confiance à la Divine Miséricorde » (Journal, p. 132), autrement dit lorsqu’elle croira que ma Miséricorde a triomphé de tout péché, de toute mort.
 
Thomas n’était donc pas en quête d’une preuve de la résurrection.
 
D’ailleurs, il n’est pas dit qu’il met sa main dans les plaies glorieuses de son Maître. En réalité, Thomas demandait un « signe » pour oser croire en la Miséricorde.
 
Et le Seigneur le lui donne en lui présentant ses plaies, tout particulièrement son côté ouvert : « Cesse d’être incrédule, sois croyant ! » (...) Lire
 
Biographie de Saint Thomas Apôtre. Liturgie traditionnelle pour sa fête.
 
Hymne de Saint Thomas Apôtre. Neuvaine des Apôtres.
 
Légende Dorée par le Bx Jacques de Voragine pour St Thomas.
 
Catéchèse de Saint Thomas Apôtre par le pape Benoît XVI.
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 3 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE III
 
Honorer arec toute sorte de respect la maternité divine, et l'amour incomparable du précieux coeur de la glorieuse Vierge
 
C'est ce qui donne à ce coeur, lorsqu'il est considéré non-seulement comme matériel et corporel, mais encore en tant qu'il signifie tout l'intérieur de l'admirable Vierge Mère de Dieu, des grandeurs qui sont entièrement ineffables : car je rencontre dans ce coeur l'amour des séraphins, la plénitude de la science chérubins, la paix des trônes, la grandeur des dominations, la force des puissances, le gouvernement des principautés, l'excellence des vertus, le soin, le zèle, la charité, la pureté des archanges et des anges.
 
Ô coeur ! Que tu es admirable ! J'y trouve la justice des patriarches, la connaissance des prophètes, la religion d'Abel, la piété d'Enoch, l'a foi d'Abraham, l'obéissance d'Isaac, la constance de Jacob, le zèle de Moïse et d'Elie, et tous les plus fervents désirs des anciens Pères.
 
Ô coeur glorieux, qui renferme toi seul toutes les excellences et vertus de l'Ancien Testament ! Je remarque dans ce coeur la charité des apôtres, la force des martyrs, la fidélité des confesseurs, la pureté des vierges, la retraite des solitaires et toute la sainteté des âmes les plus éminentes.
 
Ô coeur tout divin, rempli de toutes les grâces de la loi nouvelle ! Est totum quod vides, tout ce qui s'entend, tout ce qui se lit, tout ce qui se voit, tout ce qui y a de grand au ciel et en la terre, c'est ce coeur sacré et tout précieux.
 
Ramassez en un toutes les lumières du soleil, de la lune et des étoiles ; mettez vous devant les yeux toutes les clartés des corps des bienheureux : ô mon Dieu quel spectacle ! Il n'y a point de corps de bienheureux qui n'ait plus de clarté que le soleil.
 
Mais combien y en aura-t-il dans l'Empyrée ? Combien donc d'aimables soleils dans ce séjour de félicité ?
 
Cependant ce coeur glorieux a plus lui seul de lumières. Figurez-vous toute la puissance des anges, dont un seul vaut plus qu'une armée, selon le témoignage de l'Écriture.
 
Considérez la force du moindre des démons, qui n'ayant plus de grâce ne jouit plus que de ce qu'il a en sa nature, et ne laisse pas d'être terriblement redoutable ; méditez ensuite qu'elle doit être la puissance d'un bon ange, et de tous les saints anges ensemble ; ce grand et digne coeur est lui seul plus puissant.
 
Joignez en un tous les amours, ce coeur très aimant en a plus et pour Dieu et pour les hommes : Est totum quod vides, et totum quod non vides.
 
Hélas ! après avoir tout dit, nous n'avons rien dit encore. Ce coeur n'aime pas comme les séraphins, ne connaît pas comme les chérubins, n'est pas saint comme les plus grands saints, puisque tous ces amours, toutes ces lumières, toutes ces saintetés ne sont que des amours, des lumières et des saintetés de serviteurs ou d'amis.
 
Mais les grandeurs de Marie sont des grandeurs d'une mère qui a pour fils un Dieu : et ces grandeurs sont plus hautes que le ciel, plus profondes que les abîmes, plus larges que la région des airs, et aussi longues que l'éternité même. Il n'y a que celui-là seul qui l'a faite, qui la connaisse pleinement.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 3 juillet
 
3 juillet - Italie. Vierge Immaculée (1876) - Allemagne. Cologne. Saints Rois mages
 






























Dieu rémunérateur par Saint Alphonse de Liguori
 
St Pierre prêchait ainsi (Act. XIII, 9). Plusieurs se repentent, mais ils ne se convertissent pas.
Ils ont quelque remords de leur vie déréglée, mais ils ne reviennent pas sincèrement à Dieu.
Ils se confessent, ils frappent leur poitrine, ils promettent de s’amender, mais ils ne forment pas une ferme résolution de changer de vie.
Celui qui forme réellement une telle résolution, y persévère, ou au moins se maintient-il longtemps en état de grâce.
Mais ceux qui, après la confession retombent aussitôt, font voir, comme dit St Pierre, qu’ils se sont repentis, mais non convertis, et ils arrivent à la fin à une mort funeste.
St Grégoire écrit (Past. p. 3. Adron. 31). Il entend dire par là, que de même que les Justes éprouvent souvent des mouvements vers le mal et néanmoins ne pèchent pas, parce que leur volonté y est toute contraire ; aussi les pécheurs ont des mouvements vers le bien, mais qui ne suffisent pas à déterminer leur conversion.
Le Sage nous avertit que la Miséricorde de Dieu n’et point acquise à celui qui seulement confesse ses péchés, mais à celui qui, en même temps, s’en détache (Prov. 28, 13).
Celui donc qui, après la confession, continue à pécher, n’obtiendra point Miséricorde, mais mourra victime de la divine justice».
 
Source : St Alphonse, Œuvres complètes, T. XIV, sermons
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 2 juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE III
 
Honorer arec toute sorte de respect la maternité divine, et l'amour incomparable du précieux coeur de la glorieuse Vierge
 
C'est une chose qui n'avait jamais été ouïe, dit le dévot saint Bernard, qu'une Vierge fût mère et vierge tout ensemble : mais si vous considérez de qui elle est Mère, où est-ce que nous portera l'admiration d'une si éminente dignité ?
 
N'est-ce pas Marie, qui peut sans crainte appeler le Dieu et le Seigneur des anges, son fils, disant : Mon Fils, pourquoi avez-vous fait cela ? (Luc, II, 48) Qui est-ce des anges qui oserait parler de la sorte ?
 
Mais Marie se connaissant mère, donne avec assurance le nom de fils à cette sublime Majesté que les anges adorent avec respect ; ce Dieu à qui les anges font hommage, à qui les principautés et puissances obéissent, était sujet à Marie, et non-seulement à Marie, mais aussi à Joseph pour l'amour de Marie.
 
Qu'une Vierge, poursuit ce Père, domine dessus un Dieu, c'est une sublimité qui n'a jamais eu et qui n'aura jamais de pareille.
 
Mais toutes ces élévations si éminentes ont pris leur origine de ses humiliations abîmales : c'est par l'humilité qu'elle a conçu, disent les Pères, s'abîmant devant l'infinie majesté de Dieu, qui s'anéantissait pour nous dans ses pures entrailles au moment de l'incarnation :
 
et ce fut pour lors qu'étant élevée à une dignité presque infinie par la qualité de Mère de Dieu, que le ciel lui donnait, elle ne prit que celle de sa servante, et l'on peut bien croire qu'elle choisit même le plus bas et vil degré de servitude, qui est celui de l'esclavage.
 
Dieu ayant arrêté les yeux sur cette humilité de sa servante, comme elle le chante elle-même dans son divin cantique (Luc., I, 46 et seq.), c'est la cause pour laquelle toutes les nations la disent bienheureuse :
 
mais plus grand bonheur, et qui est la source de toutes les autres faveurs dont le ciel la comblée, est sa maternité divine, qui, lui donnant la qualité de souveraine des anges et des hommes, de reine du ciel et de la terre, fait le fondement de la dévotion de son saint esclavage.
 
C'est pourquoi tous ses esclaves doivent avoir tous les respects possibles pour sa maternité ; ils doivent vivre et mourir dans une dépendance très étroite d'une dignité si glorieuse ; invoquer souvent la très-sainte Vierge sous le nom de Mère de Dieu :
 
qualité admirable, qui a fait le sujet de toutes les plus tendres et plus fortes affections des premiers fidèles, et de tous les plus zélés catholiques.
 
Les fidèles esclaves doivent de plus honorer grandement l'amour de cette mère de la belle dilection, et son coeur virginal, qui a été le siège de cet amour et le principe de la vie humaine et sensible du saint enfant Jésus, puisque pendant que l'enfant est dans le ventre de sa mère, le coeur de la mère est tellement la source de la vie de l'enfant, aussi bien que de sa propre vie, que la vie de l'enfant n'en dépend pas moins que celle de la mère.
 
Coeur, principe de deux vies si nobles et si précieuses, principe de la vie très pure et très sainte de la Mère de Jésus, principe de la vie humainement divine, et divinement humaine du fils de Marie : coeur sur lequel le divin enfant Jésus a pris tant de fois son repos, qui par sa chaleur naturelle a produit et formé le très pur lait dont il a été nourri ; coeur, la partie la plus noble et la plus vénérable du corps virginal qui a donné un corps au Verbe éternel, qui sera éternellement l'objet des adorations de tous les esprits bienheureux.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 2 juillet
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1er juillet : Solennité du Très Précieux Sang
 
Supplique au Père Eternel en invoquant les mérites du Précieux Sang :
 
O Dieu notre Père, regardez le Sang Précieux  que votre Fils unique a répandu sur la croix, pour notre salut et poursuivez en nous l’œuvre de votre amour  rédempteur : c’est par lui que nous avons été rachetés et nous nous présentons devant le trône de votre éternelle majesté en invoquant encore ses mérites.
Accordez-nous de vivre dans la fidélité aux grâces que nous avons reçues par  la victoire du divin Crucifié ; ne permettez pas que nous rendions vaine – par notre infidélité et par nos péchés – l’efficacité de cette effusion si généreuse ;  mais  par lui fortifiez-nous toujours plus contre les tentations et les attaques de l’ennemi.
Ecoutez avec bienveillance nos prières et recevez favorablement les intentions que nous vous présentons (…) : Dieu de Miséricorde infinie, au nom de votre Fils Jésus Christ Notre-Seigneur et par la puissance du Sang Précieux qu’il a répandu pour nous, soyez-nous favorable et venez à notre secours. Ainsi soit-il.
Source : Blog du Mesnil
 
La fête du Précieux Sang avec litanies
 
Le Très Précieux Sang de Jésus de Weingarten
 
Le Très Précieux Saint-Sang de Jésus de Bruges
 
Le Très Précieux Sang de Fécamp
 
Une consécration au Très Précieux Sang
 
Le Très Précieux Sang de Jésus, signe de la Miséricorde rédemptrice de Dieu sur le monde.
 
Neuvaine au Précieux Sang.
 
Litanies du Précieux Sang. Chapelet des Saintes Plaies de Notre-Seigneur Jésus.
 
 















1er juillet  Sainte Esther
 
Reine de l'Ancien Testament
 
Livre d'Esther  Chapitre 13
 
(...)3  Ayant donc demandé à mes conseillers de quelle manière mes intentions pouvaient être réalisées, l'un d'eux, nommé Aman, qui excelle parmi nous en sagesse, qui est connu pour son dévouement inaltérable et sa fidélité constante, et qui occupe la seconde place dans le royaume,
4 m'a fait connaître qu'il y a un peuple mal intentionné, mêlé à toutes les tribus qui sont sur la terre, en opposition avec tous les peuples au nom de ses lois, méprisant continuellement les commandements des rois, de façon à empêcher la parfaite harmonie de l'empire que nous dirigeons.
5 Ayant donc appris que ce seul peuple, en contradiction perpétuelle avec tout le genre humain, s'en séparant par le caractère étrange de ses lois, et mal affectionné à nos intérêts, commet les derniers excès et empêche ainsi la prospérité du royaume,
6 nous avons ordonné que ceux qui vous sont désignés dans les lettres d'Aman, lequel est à la tête des affaires et honoré comme notre second père, soient tous, avec femmes et enfants, radicalement exterminés par le glaive de leurs ennemis, sans aucune Miséricorde ni clémence, le quatorzième jour du douzième mois, le mois d'Adar, de la présente année;
7 afin que ces hommes, autrefois et maintenant encore hostiles, descendant le même jour, par mort violente, aux enfers, rendent pour les temps à venir à nos affaires une prospérité et une paix parfaites ". (... ) Lire
 
Biographie de Sainte Esther. Enseignements du Livre d'Esther.
 
























Méditation avec Le saint esclavage de l'admirable Mère de Dieu du Dr H-M Boudon : 1er juillet
 
DEUXIÈME TRAITÉ
 
CHAPITRE II
 
Avoir une dévotion particulière à l'immaculée Conception de la très pure Vierge
 

Pour peu de zèle que l'on puisse avoir pour ses intérêts, y a-t-il occasion que l'on n'embrasse quand il s'agit de les soutenir ? Mais disons plus, que si l'Église ne nous oblige pas à croire l'Immaculée Conception, elle nous le permet, et même elle nous y invite, et propose des faveurs, et n'a que des grâces pour ceux qui se rangent de cette pieuse croyance.
 
Après cela, qui nous empêche d'entrer dans le parti de ses fidèles dévots ? Nous le pouvons, c'est ce qui est incontestable : pourquoi donc ne le pas faire !
 
L'Église nous y invite, pourquoi résister à ses mouvements ? Elle nous accorde de grandes grâces pour ce sujet : pourquoi nous priver de ces bénédictions ?
 
Reprenons ces pensées, et nous mettant en présence de la divine Marie, considérons-les un peu avec attention. Ô très sainte Vierge, je puis vous obliger en prenant des sentiments très glorieux touchant vos privilèges : mais je n'en veux rien faire, n'y étant pas obligé par la foi :
 
cependant il est entièrement en ma liberté de vous marquer en cette rencontre mon zèle : mais je n'en ferai rien : ce n'est pas que je ne connaisse assez que les inclinations de l'Église en vont là.
 
Mais j'aime mieux suivre les mouvements de quelques particuliers et les lumières de mon esprit. Je vois, de plus, qu'il y a de grandes bénédictions et des faveurs et grâces non pareilles, mais je choisis plutôt de perdre toutes ces grâces, et de me priver de toutes ces bénédictions, que de vous accorder une faveur que soutiennent toutes les plus fameuses écoles de théologie, et qui fait le sentiment  presque universel de tout le monde :
 
je veux faire bande à part, et m'attacher à une opinion que l'on n'oserait enseigner publiquement, que l'on ne peut plus prêcher, et dont même il n'est pas permis de disputer dans les entretiens particuliers.
 
Voilà ce que font ceux qui tiennent l'opinion contraire de la toute sainte Conception, et en vérité c'est ce que je ne comprends pas : nous ne les condamnons pas, mais nous nous étonnons comme ils peuvent agir de la sorte envers la très sainte Mère de Dieu.
 
Il faut ici ajouter que les Turcs reconnaissent qu'entre les enfants d'Adam, Marie a été conçue sans péché.
 
Après cela serait-il bien possible que nous voulussions lui dénier un privilège que les mahométans, ses plus cruels ennemis lui accordent ?
 
Quoi ! Il serait vrai de dire qu'un malheureux Turc, qu'un misérable infidèle aurait des sentiments plus avantageux de la Conception de la toute aimable Marie ! C'est ce qu'un bon coeur aura toujours bien de la peine à supporter.
 
Source : livres-mystiques.com
 
Saints du 1er juillet
 
1 juillet - France. Paris, Notre Dame de Bonne Délivrance - Autriche, Notre Dame de Mariazell.
 

Juillet, Mois du Précieux Sang
 


















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